A l'aube du Samedi-Saint 1944, 27 résistants étaient fusillés
à Saint Quentin.
Parmi eux, deux jeunes de Busigny, deux frères,Lucien l'ainé agée de 23 ans écrivait sa dernière lettre à sa Maman veuve.
" Ne pleure pas, Maman, ne pleure pas ! Nous venons de recevoir le pardon de Dieu et de communier au Corps du Christ. Dans quelques instants nous allons le retrouver au ciel, avec Papa, en ce beau jour de Fête : Pâques.
Ne pleure pas Maman... ne pleure pas"
Témoignage de l'Abbé Charles PLANCOT
Publié le Dimanche 13 avril 2003 - 12h10 •
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